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    L'envers - les nouvelles aventures de Carnacki - Saison 1, épisode 6 (Frédéric Livyns)

    En vente sur l'ivre-book

    Auteur : Frédéric Livyns

    :  22 Octobre 2016

    51 pages numériques

    Thèmes : Thriller/Nouvelle

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    Saison 1, épisode 1 gratuit ici

    Fait partie de la série

    Les nouvelles aventures de Carnacki - saison 1

    de Frédéric Livyns

    Présentation de l'éditeur :

     

    « Dans cet ultime épisode de la première saison, notre détective de l’occulte va être confronté à une terrible entité sévissant dans un ancien hôtel situé dans le Kent. Un effroyable massacre a eu lieu entre les murs de l’établissement et certains phénomènes laissent à penser que l’histoire semble sur le point de se répéter.

    Carnacki saura-t-il trouver la clé de l’énigme avant qu’il ne soit trop tard ? »  

    La bête du Bois de Boulogne (Christine Béchar)

    La chambre rouge - les nouvelles aventures de Carnacki - Saison 1 (Frederic Livyns)

    17/20

    Je remercie les éditions L'ivre-book, ainsi que Lilian pour l'envoi de ce service presse numérique.

     

    J'avais hâte de connaître la suite et fin de cette première saison et je dois dire que je ne suis pas déçue, comme les autres épisodes d'ailleurs. Nous retrouvons notre cher Carnacki avec ses amis dans son salon, après un bon souper. Un bon verre, un peu plus d'intimité et les voila tous prêts à écouter ce qui a bien pu se produire cette fois-ci. sauf qu'à la base, notre hôte était en vacances, donc pourquoi un tel suspense ? C'est bien mal connaître notre homme, car là où il pose un pied, un phénomène étrange va frapper à sa porte pour le tirer de sommeil profond.
     

    « J’en étais là de mes pensées lorsque les premiers coups aux portes de mon couloir furent portés. Je me levai précautionneusement et, faisant appel à tout mon courage, ouvrit discrètement ma porte afin de jeter un œil dans le corridor piètrement éclairé.
    Ce fut alors que je les vis. »
     
    Carnacki marqua une pause et nous observa à tour de rôle. Il nous resservit un verre sans prononcer le moindre mot. Il aimait bien ménager ses effets. Il s’alluma une pipe et ce fut avec un petit sourire satisfait qu’il reprit le cours de son récit. »

    Nous retrouvons bien entendu ses quatre comparses à l'affût du moindre détails qui pourraient les mener à la conclusion plus rapide. Mais l'auteur, tout comme son personnage, sait manier le suspense et nous laisser dans le flou le plus total. Jusqu'à ce qu'enfin le dernier mot donne toutes les explications de ce phénomène. Ce qui nous ouvre une nouvelle voie.

     

    Partir en vacances n'est pas de tout repos pour lui. Que se soit un petit village comme celui-ci ou une grande ville il y a toujours de l'animation et des croyances. Sans compter les histoires du passé et les faits divers. Je pense que la prochaine fois qu'il ira voir ailleurs, il emmènera son matériel. Quoique... il arrive à très bien se débrouiller avec ce qui existe sur le marché. Ici j'ai trouvé un Carnacki qui n'était pas si "fier" que cela. La peur était dans ses veines, un peu plus que dans les précédents épisodes.  

     

    J'aime les petits rappels en arrière que l'auteur fait en nous indiquant de ne pas oublier ce qui s'est passé dans telle ou telle enquête. Un tout petit "couac" comme on dit par chez moi, c'est la chambre 11. Des événements entre ces lieux qui me font dire qu'il doit y avoir un tout petit soucis de chiffre. Rien de bien méchant en somme.

     

    « Avec une mine contrite d’enfant pris en faute, l’hôtelier me mena à l’étage du dessous et m’ouvrit les portes des chambres 11 et 12 que je visitai brièvement. J’avais en ma possession tous les éléments qu’il me fallait.
     

    — Fort bien, dis-je. J’ai encore une dernière chose à vous demander. »

     

    Carnacki montre un peu plus sur lui. Sa gentillesse le perdra, tout comme son bon cœur. Il a beau vouloir être tranquille, il vient en aide sans rien demander en échange. Un saint en somme. Déjà dans les autres il montrait son bon côté, mais là c'est encore plus mis en valeur. Le phénomène est impressionnant, je n'aurai pas aimé être à sa place. Quant à la façon dont il le résout, c'est toujours après mûres réflexions.

     

    En bref, un dernier épisode qui est plein de rebondissements, de suspense et de frayeur, montrant un Carnacki un peu différent de ce qu'il est, sans pour autant oublier le fait qu'il ne mâche pas ses mots. Un grand homme en somme. Je tire mon chapeau à l'auteur qui sait toujours comment nous faire lire encore plus vite ses histoires afin de découvrir le dénouement rapidement.
     

     

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    Lien sur Lune écarlate édition


    Auteur :


    282 pages numériques (ebook)

    Thème : Recueil de nouvelles

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    Résumé :

    « Étranges, fantastiques, inquiétants, les récits de ce recueil explorent les intervalles qui nous séparent des frissonnements du monde, de ces moments où l’hésitation fait place à la peur, où l’angoisse se sublime dans la terreur, où l’attente devient émerveillement.

    Des créatures poursuivent un chercheur à travers l’Europe, un enfant est gardé par une nounou qui s’est trompée de maison, un vampire hante une salle de concert, un psychopathe sévit aux alentours d’une boîte de nuit, des peintures s’animent pour surprendre leurs propriétaires, un templier croise les plus grands écrivains d’un Paris alternatif et décadent.
    Entrez dans ces univers qui oscillent entre légèreté et gravité, pour mieux nous éclairer sur nos propres fêlures et essayer de combler nos Intervalles.

    Recueil préfacé par Nathalie Dau.»

     

     

    Yem, tome 1 : le grand rift (Gilles Milo-Vacéri)

     

    16/20

     

    Je remercie Nathy des éditions Lune Écarlate pour la lecture de ce recueil en format numérique. J'aime beaucoup la couverture qui fait aussi bien mystérieuse qu'artistique, un vrai régal pour les yeux.

     

    Qui dit recueil dit plusieurs nouvelles, du nombre de 17 si j'ai bien compté, qui sont différentes même si c'est le même auteur qui est derrière chacune. Denis Labbé aime varier les plaisirs et ici nous avons du choix. Nous pouvons lire une histoire fantastique, passer à un thriller, de la science-fiction, voire un semblant/début de western. Il est vrai que toutes ne m'ont pas forcément apporté le même engouement, mais la lecture est très bonne.

     

    Je ne parlerais pas de toutes, car il faut savoir garder un peu de mystère, mais je vais surtout laisser quelques mots sur celles que j'ai préféré.

     

    Zeyno « Assise derrière la fenêtre de son atelier perpignanais, Zeyno observait les nuances changeantes du ciel printanier. Par endroits, le bleu délavé tirait sur l’incolore, tandis que plus loin, vers les récifs pyrénéens, l’outremer se teintait déjà de gris. Il ne lui manquait que la mer. »

    Les mots ne donnent pas le rythme de l'histoire, ils subissent plutôt le personnage de Zeyno. j'ai aimé la façon dont l'auteur montre ce qu'elle voit, la façon de travailler le corps, la peinture, les gestes, les regards. Il se dégage beaucoup de force et de volonté dans le texte, dans l'histoire, dans les personnages.


    Kinder der Nacht « La nuit ! Comme dans le nom du groupe : Kinder der Nacht. Les enfants de la nuit. Un nom étrange, mais en totale osmose avec la musique sombre et dépressive de ce quintet. Un nom à faire frémir d’une délicieuse angoisse les adolescentes en mal de sensations à deux balles. J’ai honte, à présent, de m’être laissé berner de la sorte. Avec leurs visages poupins, presque androgynes, rehaussés de khôl et de fausses larmes au crayon noir, leurs gestes maniérés et calculés, leurs chorégraphies inspirées par ... »


    Un moment unique où la musique et les esprits ne font plus qu'un. Il est difficile de voir, de comprendre ce sentiment d'être en phase avec un groupe qui donne un concert. Voir les gens suivre les mêmes mouvements, devenir un tout et non plus un être unique. L'envoutement que le personnage principal ressent n'est ni bon ni mauvais, il est juste présent et près à montrer un visage, oui mais lequel ?



    Le Livre « Perdu au milieu des imposantes étagères de la Grande Bibliothèque, Thésus cherchait désespérément son livre. Depuis des années, il errait de pièce en pièce, inspectant chaque étagère, tirant chaque volume, lisant chaque titre, scrutant chaque papier. Il avait ainsi parcouru des milliers de kilomètres sans trouver le moindre indice capable de le mettre sur la bonne voie. Rien pour le guider. Peut-être n’était-il même pas dans le bon bâtiment.
    Qui pouvait le savoir ? »

    C'est une question à laquelle nous sommes souvent confronté, qui peut savoir ce que nous cherchons. Une quête qui aboutira à une solution. Une quête qui est sans cesse recommencée. Le dicton "tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir" est a garder en tête lors de cette lecture. Avoir les moyens de chercher et de trouver le fameux Graal est jouissif, mais à quel prix ?



    Le ver est dans la pomme et le Paradis s’effondre « C’est, en vérité, la splendeur de la Vénus Victrix humanisée. Villiers de L’Isle-Adam : « L’Eve future » »

    Une histoire que j'ai apprécié, un retour dans le passé auprès d'auteurs qui n'étaient pas aussi connus que maintenant. Le côté sombre d'une église qui use de moyens illégaux pour assouvir des besoins bibliques ? Cela m'a amusé de voir comment des retournements de situations peuvent subvenir sans que l'on s'y attende.



    Nounou est pyromane « Et pis, c’était un accident. Même que Séréna, elle a pas fait exprès de mettre le plat en alu dans le « microionde ». Elle savait pas, c’est tout. Vu que c’est moi qui lui ai dit de le mettre dedans et qu’elle a pas dit non. Et si qu’elle a disparu, Séréna, c’est tout simplement parce que je lui ai dit de rentrer chez elle, que ça valait mieux pour elle cause que la police, elle est pas toujours sympa dans le coin… »

    La vision d'un enfant est attendrissant et original. Les mots sont différents, la façon d'expliquer aussi. Le contexte débute doucement, de manière classique pour arriver à tout autre chose sans qu'on y croit une seconde. Et au final, la vérité est montrée. D'ailleurs, la vérité sort de la bouche des enfants, pas vrai ?

     

    En conclusion, un recueil qui a de très bonnes histoires et d'autres un petit peu moins. Un mélange étonnant de thèmes aussi variés les uns que les autres. Pas besoin d'être un adepte d'un genre en particulier car ici, l'auteur nous en offre un sacré panel. Il est à découvrir !

     

    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

    - See more at: http://info-culture.biz/2016/10/31/damour-et-de-haine-tome-1/#.WCXI7ckY-M8

    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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