Résumé 

 Ma chronique 

Nouveau livre qui sort de ma pal et je ne désespère pas de continuer encore ainsi en 2022. Des décisions ont été prises et bientôt je vous mettrai ce que je compte faire ici, mais pour le moment, me voici avec ce second tome de la célèbre ? saga de Joanne Fluke. Je mets le fameux point d'interrogation derrière célèbre, car je l'ai vu passer plusieurs fois sur d'autres pages et il a fallu que je tombe sur le premier en trainant dans une bibliothèque, mais je ne prête pas forcément attention au fait que la saga soit hyper connu ou non. Toujours est-il que ayant apprécié le premier, vive les cookies ! J'ai continué avec ce deuxième enquête qui est un peu plus prenante que la première. (Probablement parce que la mère de l'héroïne est moins présente et donc elle m'a moins gonflé, désolée xD) Une émission télé sur le meilleur pâtissier à Eden Lake et bien entendu Hannah est plus que conviée puisqu'elle doit préparer des dégustations pour le jury sans concourir, mais plus donner envie au téléspectateur de la refaire chez soi (et je sais déjà que je testerais ce weekend au moins une des recettes :) ) Le restant de Charlotte aux fraises que Hannah avait prévu pour plus tard, elle l'offre à Boyd qui n'aura pas le temps de la déguster avec la tête, il va se retrouver la face plongée en plein cœur, ses battements totalement éteint. La mort l'a prise par surprise et cela plonge une nouvelle fois la petite ville dans l'incompréhension. Encore un meurtrier ?

 «— Non.
— Bon, alors remue-toi. Si je dois forcer une serrure, j'aurai besoin que tu me tiennes la torche.
— Forcer une serrure ? s'écria Andréa, choquée. Tu n'avais pas parlé de ça !
— J'ai dit si. D'abord, on va regarder par la lucarne. Si le garage est vide, on n'aura pas besoin de forcer quoi que ce soit. Tu as bien dit que tu aimais rendre service, non ?
Andréa gémit mais attrapa docilement les torches et en tendit une à Hannah.
— Très bien. Mais si la voiture est là, je n'entre pas.
— Ça marche.
Hannah descendit, attendit qu'Andrea la rejoigne sur le trottoir, puis elles traversèrent le jardin et longèrent le mur du garage jusqu'à la lucarne. Hannah se mit sur la pointe des pieds, leva sa torche, l'alluma, et, malgré la poussière accumulée sur la vitre, vit nettement la Pontiac rouge garée à l'intérieur. La surprise lui arracha un genre de couinement.
— Qu'y a-t-il, demande Andrea. Elle eut beau murmurer, dans le silence de la nuit sa question résonna comme un cri. — Elle est là. Ce qui veut dire que je dois entrer. »