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    Les tegs, tome 2 : L'essaim (Mell 2.2)

    Lien sur Sharon Kena


    Auteur :


    303 pages numériques (ebook)

    Thème : Dystopie

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    Fait partie de la série

    Les Tegs

     

    Résumé :

    « Ils étaient là avant les Tegs. Ils étaient là avant la chute de l’ancien monde. Et ils seront toujours là quand le nouveau tombera, quand ils le pousseront dans des ténèbres encore plus sombres. Et « lui » s’arrangera toujours pour tirer les bonnes ficelles à son avantage. « Lui » qui a tout provoqué, qui est la cause de ce cauchemar, a aussi le pouvoir de tout réparer. Il devra choisir entre L’Humanité et son essaim. Choisir qui trahir, qui éliminer, qui soutenir, qui aimer, qui détruire…

    Le destin de Naël, Flash, Hanako et de Ma-L est entre ses mains, ouvrera-t-il les doigts ou les broiera-t-il dans sa paume ? »

     

     

    Yem, tome 1 : le grand rift (Gilles Milo-Vacéri)

     

    18/20

     

    Je remercie Aurélie des éditions Sharon Kena pour l'envoi de ce livre numérique dans le cadre de notre partenariat. Promis, je n'ai pas supplié pour l'avoir, mais ce n'était pas loin ! J'avais hâte de découvrir la suite et c'est chose faite dorénavant.

     

    Mel nous offre, comme dans le premier tome, différentes archives afin de nous montrer sa vision des choses. 4 archives ici, 4 "côtés", 4 parcelles de vies sur la vision du monde humain qui est devenu terrifiant. Nous débutons avec la vision d'une fleur particulière, car elle aime ce qu'elle fait. De là, nous débouchons sur un médecin qui n'est pas celui que nous aurions pu croire. Ensuite, nous retrouvons avec plaisir Ma-L qui a toujours ce besoin de savoir. Enfin nous terminons avec Naël et les choix décisifs qu'il doit faire afin de sauver... l'humanité ?

     

    « Les Tegs nous dominent, et nous, humains, nous nous plions. Jamais aucun des deux clans n’a eu vent d’une autre race, d’une véritable autre espèce d’humanoïde. »

     

    4 tranches de vies, ou de non vie qui sont quasiment par ordre chronologique. Il n'y a que la dernière qui repart légèrement en arrière, mais de très peu pour continuer l'histoire.

     

    L'Archive 1 est importante car elle démontre que tous ne sont pas pour ou contre le fait d'être cultivé. Les fameuses fleurs, ou plutôt une en particulier nous montre son quotidien. La fatigue, la joie, l'envie ou non d'être enceinte, la guerre entre les fleurs ou le soutien entre elle. Dans chaque "guerre" il y a toujours ceux qui se servent des autres et les autres justement. La nouveauté fait toujours son effet, l'envie de découvrir, de comprendre et de voir si la vie future sera toujours ainsi ou non. Je me suis douté de qui est ce fameux docteur Mellifera, mais le pourquoi il était là non. Une mauvaise surprise qui ne dit rien qui vaille pour la suite des événements...



    « Ce n’est ni professionnel ni prudent de sa part. Malgré tout, le Docteur Mellifera a l’air de s’en ficher. Il boit passivement son expresso, adossé contre la porte. J’admire pour la première fois le visage de l’un de nos maitres. Même s’il n’a levé sa visière qu’à la moitié de son visage, je vois reluire sa peau cuirassée sous les faisceaux puissants du néon. Des reflets parfois verts parfois violets dansent sur son menton anguleux et ses joues creuses rythmant son aspiration. Ses traits me paraissent fins et délicats, comme ceux d’un jeune adolescent. Le Teg ne doit pas faire son âge. »


    Et en parlant de suite, nous suivons ce fameux docteur qui nous laisse entrevoir pas mal de choses qui malheureusement resteront dans le livre. Impossible d'en raconter de trop, car il y a pas mal de surprises à découvrir. J'en ai découvert une infime partie et les retournements de situations ne manquent pas. Heureusement le résumé en raconte un peu ce qui me permet de dire que les humains et les tegs ne sont pas seuls sur terre. Et que c'est là que cela devient drôle. J'avais pensé à tellement de choses, mais pas à cela ! N'empêche la bêtise de l'homme d'une manière générale va vraiment très loin dans tous les domaines.

     

    J'adore ce personnage, il n'est pas seul bien entendu, mais lui est vraiment un cas à part. Il adore les structure gonflable pour dormir (? oui oui) préfèrerait faire un tour en wagon style grand huit plutôt que de rester proche des siens et des autres. Il a besoin de liberté comme tout à chacun, mais avoir le droit d'être lui-même. Il évolue très rapidement, en comparaison de ce qu'il a déjà vécu. Le malin est en lui, d'ailleurs cela lui va parfaitement bien. Les joutes verbales, les piques entre lui et Hanako sont délicieuses. Ironie et humour sont au rendez-vous et c'est génial !

    « Quant à moi, en bon manipulateur, je leur ai exposé mon plan, ma volonté de révolte, le massacre que je m’apprêtais à déclencher sans le moindre remords. L’erreur quand on crée des êtres supérieurs à soi, c’est que, si ceux-ci se rebellent, ils ne laissent aucune chance à leurs oppresseurs. Mes frères ont partagé ma fureur, et nous nous sommes mis à comploter. Notre évasion ne s’est pas faite sans effusion de sang. De toute manière, il était hors de question de laisser un seul de nos bourreaux en vie. La seule personne que je regrette d’avoir manquée, c’est notre père, introuvable dans tout le laboratoire lors de notre mutinerie. »


    Il m'a bien fait rire lorsqu'il découvre certains choses "sexuel", impossible de faire l'impasse sur un tout petit passage qui est plus imposant dans le livre. Imaginez une torture, une envie de vomir si bien décrite pour un simple instant de... mais de quoi d'ailleurs ?


    « Je suis à la limite de lui vomir dans les cheveux ce qui serait même moins crade qu’approfondir cette étreinte dégueulasse. Lorsque tous ses muscles se relâchent, je soupire, soulagé qu’elle n’en demande pas davantage, que cette torture soit enfin terminée. Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour combler sa petite amie ?! Je ne sais pas si je pourrai supporter de revivre une telle corvée. »



    L'Archive 3 nous fait retrouver Ma-L avec grand plaisir, enfin pour ma part surtout. Un nouveau contexte pour elle, une quête à accomplir. Et des traîtrises qui ne viennent pas de si loin que cela. Combats, fuites, cachettes, révélations du passé de Flash (et non pas le sien, même si énormément de doutes subsiste sur ce qu'elle est vraiment, de qui elle est). Elle est toujours aussi souple, aussi étonnante également et amoureuse. Son but ne change pas vraiment et j'avoue que j'ai hâte de découvrir ce qui va se passer pour elle dans le prochain ! Car franchement le final de cette troisième archive est véritablement démoniaque et méchant comme tout !


    « Ma-L retire son sac à dos, et fouille à la recherche de cartouches de Blaster qu’elle accroche à sa ceinture. Puis, elle établit quelques vérifications à ses armes avant de se relever, pleine d’assurance.
    Ce qu’elle peut être sexy…
    Après toutes ces années, je suis encore fou de Ma-L. Elle est ma meilleure amie, ma complice de tous les instants, la mère de mon enfant, l’amour de ma vie, mon bonheur quotidien, ma lumière dans l’obscurité. Nous n’avons pas besoin de communiquer pour nous comprendre ou tirer les mêmes conclusions. Ces types veulent jouer aux cons avec nous, nous allons leur montrer ce qu’il en coûte de s’en prendre à un couple de cyborgs. Un frisson me parcourt l’échine en observant ce corps parfait dissimulé dans cette combinaison moulante bleu marine. Chacune de ses formes délicates est mise en valeur avec subtilité. Je me mords la lèvre et lui gratifie un regard charmeur. »


    L'Archive 4 nous renvoi auprès de Naël. La surprise est de taille le concernant. Le combat intérieur qu'il doit gagné n'est pas évident. La relation qu'il a avec tant de monde, les personnes qui comptent sur lui, le fait qu'il n'est pas ce qu'il croit être. Mais une question reste en suspend, est-ce qu'il est réellement différent de ce qu'il pense au final ? Car sa mère n'est peut-être pas ce que certains pensent ou au contraire. 


    « Je grince des dents. J’étais persuadé, jusqu’à présent, que si les choses devaient partir en vrille ça se passerait entre moi et Noham, mais pas entre lui et ma femme. Un combat visuel se déroule devant moi. Prédateur contre prédateur. Je ne soupçonnais pas que Calyo puisse avoir autant de cran.
    – Mais sais-tu seulement que je ne peux pas mourir ? continue de la titiller Noham.
    – Oui, bien sûr, murmure ma femme d’un timbre faible mais plutôt inquiétant. Mais toi, sais-tu qu’il existe d’autres façons de se débarrasser d’un corps sans même le tuer ? Je suis certaine que tu apprécierais un petit séjour capitonné, enterré vivant, pour un temps indéterminé.
    Mon cœur s’emballe de terreur ... »


    L'auteur arrive à embrouiller tant et si bien les pistes qu'il faut une bonne dose de décrypteur pour savoir où se trouve la réalité. Il y a toujours autant d'humour et de bouffe (oui, j'avais oublié d'en parler dans l'avis du premier tome, mais Ma-L et ses visions d'un banc en forme de gaufres et bien d'autres choses, m'ont bien fait rire) Les prénoms, enfin plutôt initiales sont drôles, surtout lorsqu'il y a des combinaisons qui font rire (le canard, W-C m'a plié en deux !)

     

    En conclusion, si vous avez envie de vous évader, d'imaginer un monde différent du notre en pleine science-fiction, le tout bourré d'humour et de dérives, n'hésitez plus ! Le premier était bon, celui-ci se déguste encore plus ! Vivement la suite !

     

    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

    - See more at: http://info-culture.biz/2016/10/31/damour-et-de-haine-tome-1/#.WCXI7ckY-M8

    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

    - See more at: http://info-culture.biz/2016/10/31/damour-et-de-haine-tome-1/#.WCXILMkY-M8

    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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    Lien sur les éditions du 38


    Auteur :


    696 pages numériques (ebook)

    Thèmes : Histoire, guerre, passion

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    Résumé :

    « Juillet 1914. Dans une ambiance assombrie par la guerre qui se profile, Julien de Saint quitte Saint-Cyr avec le grade de lieutenant. En attendant son affectation, il rentre à Coulmiers, petit village proche d'Orléans et y retrouve son père, Henri, agriculteur, son grand-père, André et son frère cadet, Louis, souffrant d'un retard mental.Les retrouvailles avec Alexandre, son meilleur ami, ainsi qu'avec Eugénie et Camille, ses amies d'enfance, seront entachées de plusieurs drames qui pousseront Julien à mener une enquête parallèle.Quand la guerre éclate, Julien n'a pas le temps d'épouser Camille. Il est envoyé à Marseille au sein d'un régiment de la Légion Étrangère afin de rejoindre plus tard le front de l'Est. L'horreur des combats, le quotidien dans les tranchées, la mort qui s'invite à chaque instant, rien n'épargnera le jeune homme.Lors d'un assaut il est grièvement blessé et reste sur le champ de bataille. Soigné par les Allemands, il se retrouve sur un domaine agricole en Haute Bavière où il devra se plier aux ordres de la belle Liese et de son frère officier, Friedrich von Baumgartner.Julien de Saint sera la proie d'un destin tragique contre lequel il ne cessera de lutter et ne s'avouera jamais vaincu.Cette magnifique saga nous emporte dans des histoires d'amour, d'héroïsme, de trahison, ainsi qu'au sein d'une sombre enquête. C'est aussi un roman qui célèbre la terre, et l'attachement que lui vouent les hommes qui s'y enracinent. »
     

     

    Yem, tome 1 : le grand rift (Gilles Milo-Vacéri)

    Les moissons perdues (Gilles Milo-Vacéri)

    Je remercie Anita Berchenko des éditions du 38, ainsi que Gilles Milo-Vacéri pour m'avoir permise de lire ce nouveau livre numérique.

     

    1914, une année que même les plus "jeunes" apprennent à l'école. L'année où la guerre gronde aux portes de la France et des pays frontaliers. Julien De Saint sort de l'école militaire de Saint Cyr avec le grade de Lieutenant plus tôt que prévu. L'école ferme ses portes car les futurs militaires se doivent de rentrer chez eux afin d'attendre l'affectation qui les mettra sur le front. Son retour à Coulmiers près d'Orléans dans sa famille fait autant la joie de son père, grand-père et frère, mais aussi une crainte. Car combien de temps va-t-il pouvoir rester ? Et surtout va-t-il revenir de cette guerre qui se profile à l'horizon ?

     

    Ayant habité en Bretagne, puis vivant actuellement très proche de Compiègne, l'histoire de cette première guerre mondiale est présente dans les mémoires des anciens et des autres. surtout que le wagon où le traité de paix a été signé est toujours sur place, dans la forêt de Compiègne, à Rethondes. Petite info, le wagon est toujours libre d'accès (moyennant un ticket d'entrée bien entendu) La vie des paysans décrite par l'auteur est plus que réaliste. Je me souviens de mon arrière grand-mère qui avait vécu les deux guerres et qui nous parlait des coupons pour avoir un peu à manger en ces temps douloureux. La peur de ne pas revoir ses proches, la peur du lendemain est très bien décrite. Cette peur qui s'insinue dans les pores de chaque être vivant pour tous les gestes quotidiens qui auraient dû être si simple à réaliser. Apprendre à se battre, savoir se défendre, garder un esprit humain et ne pas plonger dans la folie meurtrière, garder des valeurs, s’entraider... tout cela en un temps record.

     

    « La solidarité était un devoir dans ces campagnes reculées où le moindre secours et l’assistance ne dépendaient que de la bonne volonté de chacun. »

     

    Lorsque Julien revient dans sa famille, son père, qui n'est pas très démonstratif en parole, montre sa fierté pour son fils en geste. Sa maison, surnommé la Saint Cyrienne en l'honneur de son fils ainé est un foyer accueillant. Le grand-père Alain vit avec eux, ainsi que Louis, le frère cadet qui a un léger retard. Julien est la fierté de sa famille, mais aussi de tout le village : il est le premier à sortir de cette prestigieuse école militaire premier en tout. Que ce soit au sabre, au fusil, en sport, il se donne à fond et à cette rage au ventre qui caractérise les meilleurs hommes qui deviendront des officiers remarquables. Nous le suivons dans la vie de tous les jours pensant à un monde de paix. Son meilleur ami, Alexandre est également un paysan, aimant travailler avec les bêtes, la terre comme quasiment tous les habitants. L'amour frappe à la porte des deux jeunes gens, sous la forme de deux sœurs, Eugénie et Camille. Vivre l'instant présent, faire des rêves d'avenir et y croire...

     

    « Julien exultait et se sentait l’âme d’un conquérant. Plus il regardait Camille, plus il se sentait pousser des ailes, surtout que la jeune fille répondait discrètement à ses œillades, lui souriait sans cesse et ne fuyait pas sa compagnie, bien au contraire. Même s’il n’avait aucune idée des bonnes manières ou comment procéder pour faire une cour en règle, son cœur battait fort et avant tout, il souhaitait prendre le temps de faire connaissance, de parler, de découvrir ce qui se cachait en elle, ses envies, ses aspirations ou encore ses rêves. Saurait-il assouvir tous ses espoirs et serait-il à la hauteur ? »

     

    Bien des événements vont changer le destin des quatre jeunes gens au départ, puis de la population entière par la suite. Il y a toujours des gens malfaisants qui font que la vie paisible devienne un cauchemar et je ne parle pas des combattants adverse, mais des rivalités malsaines qui vont laisser des traces dans la tête de chacun des habitants.

     

    Lorsqu'ils sont obligés de partir avant de pouvoir se marier, c'est le cœur gros et les larmes qui font échos en chacun d'eux. Nous suivons le Lieutenant Julien dans cette guerre sans avoir de nouvelles des autres. Le courrier ne fonctionne pas ou tellement peu qu'il lui arrive parfois de recevoir cinq lettres d'un coup datées de si loin que les nouvelles fraîches n'existent pas. Même entre services il est difficile de savoir qui est encore en vie. La légion étrangère, le corps militaire que notre héro va devoir commander est disons-le le meilleur qui puisse exister. Les hommes sont solidaires, ont de l'expérience - il faut comprendre qu'ils ont plusieurs campagnes à leur actif - et ne laisse pas un homme à terre. Les qualités que ces hommes vont découvrir en Julien et même plus, car même s'il sort de l'école il n'en oublie pas son apprentissage auprès d'hommes aguerris, son humilité, mais aussi son courage.

     

    L'histoire a montré et montrera encore que les hommes sont capables du meilleur comme du pire. C'est parfaitement le cas ici. L'auteur arrive à intégrer les deux dans les tranchées, dans les gestes quotidiens, dans les pensées également. Même si le livre est du point de vue de Julien, nous pouvons déduire énormément rien qu'en le voyant agir avec les autres et la manière dont ils lui répondent. En parlant des tranchées, nous n'avons qu'une infime partie de ce qu'ils peuvent vivre, mais nous pouvons ressentir la douleur, l'espoir, le désespoir, les illusions perdues. Les morts, les blessés vont et viennent de chaque côté des camps et il ne faut pas s'appesantir sur les pertes, mais plutôt sur les vivants. Facile à dire, difficile à faire.


    « Quand il ressortit de l’écurie, tenant Athéna par les rênes, Julien avait le cœur lourd. C’était toujours difficile de partir et de laisser ceux que l’on aime derrière soi, mais cet après-midi, cela prenait une tout autre dimension. Quand il repartait à Saint-Cyr après une permission, il avait rarement le sourire tout en conservant le moral. Aujourd’hui, il se sentait vide et seule la peur demeurait en lui. La peur du lendemain ou justement, la peur qu’il n’y aurait peut-être pas de lendemain. Il contempla son grand-père, assis sous le chêne, et fit mine de ne pas remarquer le mouchoir qu’il portait à ses yeux. Serrant les dents, il commença à embrasser ses amis. André s’était levé et s’approchait à pas lents. Il embrassa Camille sur la joue et ils échangèrent un long regard. La jeune fille voulut dire quelque chose et un sanglot l’en empêcha.
    — Ne pleure pas, Camille, sinon je n’aurais pas la force… Je t’en prie.
    Eugénie s’approcha du couple.
    — Camille, il reviendra… Ils reviendront, tous les trois ! »

     

    Le résumé apporte un autre point crucial dans la guerre : les prisonniers de guerre et la façon dont ils sont traités. Julien n'est plus seulement un Lieutenant de par ses faits accomplis, et étant officier il a comme qui dirait un traitement de faveur. Blessé grièvement, il s'en ressort avec des cicatrices et une obligation de redevenir fermier pour le compte d'un officier allemand. entre les deux, c'est une autre forme de guerre qui s'instaure et ce n'est pas la soeur de l'officier, Liese qui dira le contraire. Pour elle, pourquoi avoir une bouche de plus à nourrir alors qu'il est dans un sale état ? Les raisons sont nombreuses du côté de son frère, l'officier Friedrich et nous les découvrons les unes après les autres.

     

    Les personnages sont forts, qu'ils soient bons ou non. Lucien, Julien, Alex, Eugénie, Henri, Camille, Pauline, Gabi, et tous les autres. Chacun à leur manière apporte une pierre à l'histoire, créant ainsi une relation qui va être là pour soutenir ou au contraire détruire Julien.

     

    « Des larmes d’émotion montèrent aux yeux de Julien. Il fut incapable de répondre et se sentit encore une fois écartelé par des décisions que la vie, le destin avaient prises pour lui. Oui, tout cela était injuste. »

     

    J'ai mis le temps avant d'écrire mon avis, parce que je ne savais pas si j'avais envie de brûler sur un bucher Gilles ou juste l'attacher à des chevaux pour le démembrer. Je ne parle pas de sa plume qui est toujours aussi fluide, je vais juste indiquer qu'il a toujours l'art et la manière de nous "obliger" à nous attacher aux personnages pour mieux nous les enlever. Il osera dire qu'il s'agit de la guerre et qu'elle ne fait pas de cadeaux.

     

    En conclusion, ce livre est véritablement complet. Histoire, amour, vengeance - oui je n'en parle qu'ici car il faut savoir garder de petits secrets - complots, trahisons et combattant exceptionnel. L'enquête dans l'histoire, la solidarité, la terre qui est un élément important car elle n'est pas souffrance, mais au contraire un bienfait. Une magnifique histoire bouleversante à découvrir.

     

    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

    - See more at: http://info-culture.biz/2016/10/31/damour-et-de-haine-tome-1/#.WCXI7ckY-M8

    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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