• Les tegs, tome 2 : L'essaim (Mell 2.2)

     

     

    Les tegs, tome 2 : L'essaim (Mell 2.2)

    Lien sur Sharon Kena


    Auteur :


    303 pages numériques (ebook)

    Thème : Dystopie

    *******

    Fait partie de la série

    Les Tegs

     

    Résumé :

    « Ils étaient là avant les Tegs. Ils étaient là avant la chute de l’ancien monde. Et ils seront toujours là quand le nouveau tombera, quand ils le pousseront dans des ténèbres encore plus sombres. Et « lui » s’arrangera toujours pour tirer les bonnes ficelles à son avantage. « Lui » qui a tout provoqué, qui est la cause de ce cauchemar, a aussi le pouvoir de tout réparer. Il devra choisir entre L’Humanité et son essaim. Choisir qui trahir, qui éliminer, qui soutenir, qui aimer, qui détruire…

    Le destin de Naël, Flash, Hanako et de Ma-L est entre ses mains, ouvrera-t-il les doigts ou les broiera-t-il dans sa paume ? »

     

     

    Yem, tome 1 : le grand rift (Gilles Milo-Vacéri)

     

    18/20

     

    Je remercie Aurélie des éditions Sharon Kena pour l'envoi de ce livre numérique dans le cadre de notre partenariat. Promis, je n'ai pas supplié pour l'avoir, mais ce n'était pas loin ! J'avais hâte de découvrir la suite et c'est chose faite dorénavant.

     

    Mel nous offre, comme dans le premier tome, différentes archives afin de nous montrer sa vision des choses. 4 archives ici, 4 "côtés", 4 parcelles de vies sur la vision du monde humain qui est devenu terrifiant. Nous débutons avec la vision d'une fleur particulière, car elle aime ce qu'elle fait. De là, nous débouchons sur un médecin qui n'est pas celui que nous aurions pu croire. Ensuite, nous retrouvons avec plaisir Ma-L qui a toujours ce besoin de savoir. Enfin nous terminons avec Naël et les choix décisifs qu'il doit faire afin de sauver... l'humanité ?

     

    « Les Tegs nous dominent, et nous, humains, nous nous plions. Jamais aucun des deux clans n’a eu vent d’une autre race, d’une véritable autre espèce d’humanoïde. »

     

    4 tranches de vies, ou de non vie qui sont quasiment par ordre chronologique. Il n'y a que la dernière qui repart légèrement en arrière, mais de très peu pour continuer l'histoire.

     

    L'Archive 1 est importante car elle démontre que tous ne sont pas pour ou contre le fait d'être cultivé. Les fameuses fleurs, ou plutôt une en particulier nous montre son quotidien. La fatigue, la joie, l'envie ou non d'être enceinte, la guerre entre les fleurs ou le soutien entre elle. Dans chaque "guerre" il y a toujours ceux qui se servent des autres et les autres justement. La nouveauté fait toujours son effet, l'envie de découvrir, de comprendre et de voir si la vie future sera toujours ainsi ou non. Je me suis douté de qui est ce fameux docteur Mellifera, mais le pourquoi il était là non. Une mauvaise surprise qui ne dit rien qui vaille pour la suite des événements...



    « Ce n’est ni professionnel ni prudent de sa part. Malgré tout, le Docteur Mellifera a l’air de s’en ficher. Il boit passivement son expresso, adossé contre la porte. J’admire pour la première fois le visage de l’un de nos maitres. Même s’il n’a levé sa visière qu’à la moitié de son visage, je vois reluire sa peau cuirassée sous les faisceaux puissants du néon. Des reflets parfois verts parfois violets dansent sur son menton anguleux et ses joues creuses rythmant son aspiration. Ses traits me paraissent fins et délicats, comme ceux d’un jeune adolescent. Le Teg ne doit pas faire son âge. »


    Et en parlant de suite, nous suivons ce fameux docteur qui nous laisse entrevoir pas mal de choses qui malheureusement resteront dans le livre. Impossible d'en raconter de trop, car il y a pas mal de surprises à découvrir. J'en ai découvert une infime partie et les retournements de situations ne manquent pas. Heureusement le résumé en raconte un peu ce qui me permet de dire que les humains et les tegs ne sont pas seuls sur terre. Et que c'est là que cela devient drôle. J'avais pensé à tellement de choses, mais pas à cela ! N'empêche la bêtise de l'homme d'une manière générale va vraiment très loin dans tous les domaines.

     

    J'adore ce personnage, il n'est pas seul bien entendu, mais lui est vraiment un cas à part. Il adore les structure gonflable pour dormir (? oui oui) préfèrerait faire un tour en wagon style grand huit plutôt que de rester proche des siens et des autres. Il a besoin de liberté comme tout à chacun, mais avoir le droit d'être lui-même. Il évolue très rapidement, en comparaison de ce qu'il a déjà vécu. Le malin est en lui, d'ailleurs cela lui va parfaitement bien. Les joutes verbales, les piques entre lui et Hanako sont délicieuses. Ironie et humour sont au rendez-vous et c'est génial !

    « Quant à moi, en bon manipulateur, je leur ai exposé mon plan, ma volonté de révolte, le massacre que je m’apprêtais à déclencher sans le moindre remords. L’erreur quand on crée des êtres supérieurs à soi, c’est que, si ceux-ci se rebellent, ils ne laissent aucune chance à leurs oppresseurs. Mes frères ont partagé ma fureur, et nous nous sommes mis à comploter. Notre évasion ne s’est pas faite sans effusion de sang. De toute manière, il était hors de question de laisser un seul de nos bourreaux en vie. La seule personne que je regrette d’avoir manquée, c’est notre père, introuvable dans tout le laboratoire lors de notre mutinerie. »


    Il m'a bien fait rire lorsqu'il découvre certains choses "sexuel", impossible de faire l'impasse sur un tout petit passage qui est plus imposant dans le livre. Imaginez une torture, une envie de vomir si bien décrite pour un simple instant de... mais de quoi d'ailleurs ?


    « Je suis à la limite de lui vomir dans les cheveux ce qui serait même moins crade qu’approfondir cette étreinte dégueulasse. Lorsque tous ses muscles se relâchent, je soupire, soulagé qu’elle n’en demande pas davantage, que cette torture soit enfin terminée. Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour combler sa petite amie ?! Je ne sais pas si je pourrai supporter de revivre une telle corvée. »



    L'Archive 3 nous fait retrouver Ma-L avec grand plaisir, enfin pour ma part surtout. Un nouveau contexte pour elle, une quête à accomplir. Et des traîtrises qui ne viennent pas de si loin que cela. Combats, fuites, cachettes, révélations du passé de Flash (et non pas le sien, même si énormément de doutes subsiste sur ce qu'elle est vraiment, de qui elle est). Elle est toujours aussi souple, aussi étonnante également et amoureuse. Son but ne change pas vraiment et j'avoue que j'ai hâte de découvrir ce qui va se passer pour elle dans le prochain ! Car franchement le final de cette troisième archive est véritablement démoniaque et méchant comme tout !


    « Ma-L retire son sac à dos, et fouille à la recherche de cartouches de Blaster qu’elle accroche à sa ceinture. Puis, elle établit quelques vérifications à ses armes avant de se relever, pleine d’assurance.
    Ce qu’elle peut être sexy…
    Après toutes ces années, je suis encore fou de Ma-L. Elle est ma meilleure amie, ma complice de tous les instants, la mère de mon enfant, l’amour de ma vie, mon bonheur quotidien, ma lumière dans l’obscurité. Nous n’avons pas besoin de communiquer pour nous comprendre ou tirer les mêmes conclusions. Ces types veulent jouer aux cons avec nous, nous allons leur montrer ce qu’il en coûte de s’en prendre à un couple de cyborgs. Un frisson me parcourt l’échine en observant ce corps parfait dissimulé dans cette combinaison moulante bleu marine. Chacune de ses formes délicates est mise en valeur avec subtilité. Je me mords la lèvre et lui gratifie un regard charmeur. »


    L'Archive 4 nous renvoi auprès de Naël. La surprise est de taille le concernant. Le combat intérieur qu'il doit gagné n'est pas évident. La relation qu'il a avec tant de monde, les personnes qui comptent sur lui, le fait qu'il n'est pas ce qu'il croit être. Mais une question reste en suspend, est-ce qu'il est réellement différent de ce qu'il pense au final ? Car sa mère n'est peut-être pas ce que certains pensent ou au contraire. 


    « Je grince des dents. J’étais persuadé, jusqu’à présent, que si les choses devaient partir en vrille ça se passerait entre moi et Noham, mais pas entre lui et ma femme. Un combat visuel se déroule devant moi. Prédateur contre prédateur. Je ne soupçonnais pas que Calyo puisse avoir autant de cran.
    – Mais sais-tu seulement que je ne peux pas mourir ? continue de la titiller Noham.
    – Oui, bien sûr, murmure ma femme d’un timbre faible mais plutôt inquiétant. Mais toi, sais-tu qu’il existe d’autres façons de se débarrasser d’un corps sans même le tuer ? Je suis certaine que tu apprécierais un petit séjour capitonné, enterré vivant, pour un temps indéterminé.
    Mon cœur s’emballe de terreur ... »


    L'auteur arrive à embrouiller tant et si bien les pistes qu'il faut une bonne dose de décrypteur pour savoir où se trouve la réalité. Il y a toujours autant d'humour et de bouffe (oui, j'avais oublié d'en parler dans l'avis du premier tome, mais Ma-L et ses visions d'un banc en forme de gaufres et bien d'autres choses, m'ont bien fait rire) Les prénoms, enfin plutôt initiales sont drôles, surtout lorsqu'il y a des combinaisons qui font rire (le canard, W-C m'a plié en deux !)

     

    En conclusion, si vous avez envie de vous évader, d'imaginer un monde différent du notre en pleine science-fiction, le tout bourré d'humour et de dérives, n'hésitez plus ! Le premier était bon, celui-ci se déguste encore plus ! Vivement la suite !

     

    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

    - See more at: http://info-culture.biz/2016/10/31/damour-et-de-haine-tome-1/#.WCXI7ckY-M8

    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

    Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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    L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

    Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

    Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

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  • Commentaires

    4
    Vampilou
    Mardi 22 Novembre 2016 à 16:55
    Ah, ayant adoré le premier tome, j'ai vraiment hâte de lire cette suite !
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    3
    Hamisoitil
    Lundi 21 Novembre 2016 à 23:24

    Je n'ai pas encore testée la dystopie mais j'ai quand même pris plaisir à lire ta chronique même si c'est un tome 2

      • Mardi 22 Novembre 2016 à 17:17

        Je ne suis pas vraiment science fiction mais celle-ci est légère et fait du bien au moral :)

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