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     Film | Science-fiction | Action | Américain | Novembre 2017
     

    Titre original :  Justice League

    Réalisation : Zack Snyder

     
    Synopsis

     

    " Après avoir retrouvé foi en l'humanité, Bruce Wayne, inspiré par l'altruisme de Superman, sollicite l'aide de sa nouvelle alliée, Diana Prince, pour affronter un ennemi plus redoutable que jamais. Ensemble, Batman et Wonder Woman ne tardent pas à recruter une équipe de méta-humains pour faire face à cette menace inédite. Pourtant, malgré la force que représente cette ligue de héros sans précédent – Batman, Wonder Woman, Aquaman, Cyborg et Flash –, il est peut-être déjà trop tard pour sauver la planète d'une attaque apocalyptique… "

     

    Bande Annonce
     
     
    Distribution

    • Ben Affleck : Bruce Wayne / Batman
    • Henry Cavill : Clark Kent / Superman
    • Gal Gadot : Diana Prince / Wonder Woman
    • Ezra Miller : Barry Allen / Flash
    • Jason Momoa : Arthur Curry / Aquaman
    • Ray Fisher : Victor Stone / Cyborg
    • Amy Adams : Lois Lane
    • Jeremy Irons : Alfred Pennyworth
    • Diane Lane : Martha Kent (en)
    • Connie Nielsen : la reine Hippolyte
    • J. K. Simmons : James Gordon
     
    Mon avis

     

    Je suis une grande fan de tous les super-héros quel qu'ils soient, j'avais adoré la plupart d'entre eux, lorsqu'ils sont seuls. Le Batman Vs Superman était un chouilla en dessous des autres, mais il apportait malgré tout des moments où le passé de nos deux héros se rejoignait dans le sombre. Les méandres de l'esprit tortueux qui nous emmenait dans un lieu où personne n'avait envie d'aller. Le fait que Wonderwoman fit un passage éclair avait donné du pep's au final, qui est triste à en pleurer. Par conséquent, si vous n'avez pas vu ce film, je risque de vous spoiler pas mal de choses dans celui-là, pour la simple et bonne raison qu'il est une forme de suite où vont se retrouver les super-héros par obligation.
     
     
    Bruce Wayne prend enfin conscience que le sacrifice de Clark Kent n'a pas été vain. L'Humanité a encore de belles choses à montrer, il faut juste montrer la voie. Batman va donc tenter de remettre sur les rails le peuple. Seul hic : LE Vilain est de retour, Steppenwolf. Il prend conscience qu'il doit trouver un allié précieux et demande donc à Diana Prince d'être son arme de guerre. Car oui, Wayne a beau être fort, il n'est pas invincible, il ne peut pas arrêter les balles ou des éclairs de feu. Il est riche et donc avec Alfred (Oh mon Dieu ! J'adore l'acteur qui joue son fidèle Alfred, Jeremy Irons qui pour une fois ne fait pas le méchant de l'histoire, trop classe !) arrive à fabriquer ce qu'il faut en matériel pour l'aider dans sa quête de paix. La chauve-souris humaine et l'amazone ont fort à faire, ils ne pourront jamais réussir à sauver tout le monde. Ils vont donc chercher le moyen de créer une ligue de justiciers en retrouvant des éléments qui font d'eux des potentiels héros.
     
     
    À la recherche de cubes, cela fait un peu beaucoup penser au fameux "cube" des Avengers où des créatures viennent sur Terre pour récupérer une puissance. C'est exactement cela un méchant qui veut récupérer des cubes et obtenir ce qu'il désire : mettre la Terre à feu et à sang ! Wayne s'en veut de la perte de Superman et son décès affecte énormément son équilibre, ainsi que celui des humains. Tous le pleure et pendant ce temps là, leurs vies est en danger. Bruce et Diana font ce qu'il faut pour créer cette ligue de justiciers. Si l'homme poisson est difficile à convaincre, ce n'est pas le seul qui aura des doutes sur ses capacités. Flash dans ce film est quelque peu différent de la série. Bien entendu ce n'est pas le même acteur, mais je parle plutôt de la façon dont il est amené à jouer. Alors non je ne suis pas une actrice (loin de moi l'idée) mais il y a des différences notables, comme l'humour qui est totalement différent et la façon dont il s'approprie le rôle. Ce flash là est un peu dans le trop m'as-tu-vu, le trop je vais vous faire rire avec mes blagues à deux balles. Sans compter qu'il est toujours en extase devant les autres super-héros. Eh mec, tu en fais partie, faudrait y penser à un moment donné.
     
     
    Il a ce petit côté enfantin mignon qui passe bien durant un temps, jusqu'à le fait qu'il s'excuse souvent pour des faits devient vite énervant. Il a de la réparti et n'a pas peur d'un multi-milliardaire qui joue avec des chauves-souris qui a les moyens pour tout et n'importe quoi en quelque sorte.
     

    Justice League: Ezra Miller
     
     
    Aquaman est le seul dont je n'ai pas vu le film (honte à moi), mais maintenant je sais que cela va arriver. Outre le fait qu'il est barbu avec plein de tatouages (des vrai ? ou juste pour les films ?) Il a ce j'men-foutisme parfait, avec juste la dose de je suis meilleur que vous tous, mais comme vous avez besoin de moi pour survivre, je vais faire mon héros. Tordant ce type ! Et puis il y a le Cyborg, Victor, cet homme dont le père a eu envie de faire une expérience sans vraiment le lui demander. Devenu mi-homme, mi-robot, il se retrouve dans une position où il ne sait pas trop où tout cela va l'amener. Est-il au point ? Est-il capable de faire quelque chose de bien. La peur est tout de même importante, car il faut bien être honnête la ligue des justiciers que nous avons ici, ressemble plus à Suicide Squad plutôt qu'à la ligue des gentlemen extraordinaires !
     
     
    Et puis il y a Superman, qui est mort et qui (SPOILERS !) revient à la vie. Je passe les détails du comment, du pourquoi, du mais non de nom, comment ils ont fait ! J'avoue que ce passage vient après un certain nombre de passages où nous voyons tous les autres chercher des solutions. IL est celui qui va tous les sauver ? C'est un poids énorme sur les épaules d'un mort et le retour n'est pas forcément celui que tous attendaient. Comment leur faire comprendre que ce qu'ils ont fait n'était pas naturel, même pour un cryptonien ? La bataille qui en découle est fulgurante, forte et il suffit d'une humaine pour que les choses s'arrange, comme quoi les humains sont forts ! Lorsqu'il va comprendre pourquoi il est de retour, les actions vont aller encore plus vite qu'avant.
     
     
    De l'action, il y en a, beaucoup. Tout ça pour des cubes, mon fils en a plein des cubes, des legos, des playmobils, je rigole, mais il est vrai que sur les trois boites à récupérer, celle des Humains est toujours bien cachées, comme quoi (oui une fois de plus) les humains sont des bons ! Les effets spéciaux sont si nombreux que j'en ai perdu le compte. J'adore quand cela explose de partout, mais il est clair que la bataille des Amazones du début est ma préférée, plus proche d'une réalité, avec probablement moins d'effets (mais je me trompe peut-être) J'en reviens à Victor, côté émotion il ne dégage pas grand-chose à part de la tristesse, mais cela, c'est normal vu comment il s'en sort. Batman est usé jusqu'à la moëlle et j'ai trouvé WonderWoman bien trop sérieuse par rapport à ses films perso.
     
     
    Il ne s'agit plus de s'amuser avec ses soucis personnels, mais de se lier les uns aux autres pour sauver la Terre. Des décisions doivent être prises et lorsque l'on a autant de fortes têtes, c'est toujours difficile de se faire entendre. Et Steppenwolf qui n'en à que faire de leurs petites histoires s'amuse avec tout le monde, que ce soit les Amazones ou les Atlantes. Les décimer est si drôle et lorsqu'il met la main sur le cube des humains, cela va devenir un véritable carnage. Pourtant les super-héros vont devoir faire fi de leur passé respectif et ainsi se battre ensemble pour une bonne cause.
     
     
    En conclusion, j'attendais plus de cette réunification de super-héros. Probablement trop de supers dans le film pour que je puisse apprécier chacun à sa juste valeur. Le passé sombre de Batman et de Superman sont toujours présents, leur rancœur a beau être moins tenace, elle est toujours là. Beaucoup d'actions c'est bien, mais certaines auraient pu être évitées. C'était sympa à découvrir, je vais maintenant rechercher Aquaman, histoire d'en savoir plus sur lui.
     
     
    photo
     

    Ma NOTE  

    Mercredi ciné #72, "Justice League", film

     

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    10 commentaires
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     Film | Science-fiction | Américain | Mars 2018
     

    Titre original :  Ready Player One

    Réalisation : Steven Spielberg

     
    Synopsis

     

    " 2045. Le monde est au bord du chaos. Les êtres humains se réfugient dans l'OASIS, univers virtuel mis au point par le brillant et excentrique James Halliday. Avant de disparaître, celui-ci a décidé de léguer son immense fortune à quiconque découvrira l'œuf de Pâques numérique qu'il a pris soin de dissimuler dans l'OASIS. L'appât du gain provoque une compétition planétaire. Mais lorsqu'un jeune garçon, Wade Watts, qui n'a pourtant pas le profil d'un héros, décide de participer à la chasse au trésor, il est plongé dans un monde parallèle à la fois mystérieux et inquiétant… "

     

    Bande Annonce
     
     
    Distribution

    • Tye Sheridan : Wade Owen Watts / Parzival
    • Olivia Cooke : Samantha Evelyn Cook / Art3mis
    • Ben Mendelsohn : Nolan Sorrento / Sorrento
    • T. J. Miller : i-R0k
    • Simon Pegg : Ogden Morrow / le Conservateur
    • Mark Rylance : James Donovan Halliday / Anorak
    • Lena Waithe : Helen / Aech
    • Win Morisaki : Toshiro / Daito
    • Philip Zhao : Xo / Sho
    • Hannah John-Kamen : F'Nale Zandor
    • Susan Lynch : Tante Alice
    • Ralph Ineson : Rick
    • Clare Higgins : Mrs. Gilmore
    • Perdita Weeks : Kira
     
    Mon avis

     

    Une fois de plus, je suis tombée dessus en jouant de la zapette durant les dernières vacances et en comprenant qu'il s'agit de réalité virtuelle, je ne pouvais pas passer à côté. J'ai vécu ce que l'on peut appeler la révolution des jeux, celle où le jeu en 2D est devenu de la 3D puis tous les accessoires qui donnent cette impression d'être DANS le jeu, d'être un de ces personnages et de vivre intensément l'aventure proposée. J'ai connu la fameuse nintendo sega II, pas la une, mais rien qu'avec celle-là, je peux vous assurer que tout ce que je vois maintenant avec mon fils, l'expérience des jeux a considérablement évolué vite, très vite ! Alors la réalité virtuelle, pouvoir se déconnecter de la vie pour être ailleurs, je lis depuis quelque temps certains livres qui en parle et lorsque j'ai vu ce film, c'était encore une nouvelle expérience.
     
     
    Nous retrouvons pas mal de références des années 80, que ce soit des films ou des jeux, mais aussi des nouveaux. Le mélange est bien fait, difficile de dire lequel est le plus vieux ou l'inverse. C'est un film qui appellera un maximum de gens de tptou âge et de tout horizon. Qui n'a jamais rêvé de quitter ce que nous vivons pour découvrir autre chose ? C'est ce que je fais déjà en lisant, là il s'agit des images qui nous propulsent dans un monde différent. Celui de la misère complète avec les hommes et les femmes qui sont capables de vendre père et mère pour une minute de jeux supplémentaires et ceux qui ont des moyens infinis. Et puis il y a l'autre côté, celui où la pose du casque sur les yeux nous embarquent ailleurs, avec un autre corps, une nouvelle coupe de cheveux, une voix différente. Bref nous sommes quelqu'un d'autre du même sexe ou non. Un elfe, un troll, un guerrier, peu importe ce que nous sommes en vrai, dans le jeu tout est possible. Et le jeu, c'est l'OASIS !
     
     
    La fameuse oasis, celle qui nous désaltère, qui nous apporte ce souffle d'air ou d'eau pour continuer à respirer. L'OASIS est un lieu où chacun vit comme il l'entend. Enfin, il faut tout de même faire attention, car le danger vient aussi bien de l'éxtérieur du jeu que de l'intérieur. Le créateur de l'Oasis est mort et il a déclaré une chasse au trésor. Depuis des années les joueurs tentent de passer les épreuves sans réussir, jusqu'à ce qu'enfin l'un d'entre eux va réussir à passer le premier ! Un certain nombre sont à traverser pour avoir une chance d'obtenir les clé de l'oasis et ainsi d'être le maître du jeu. Sauf que les dès sont pipés du départ. Les consommateurs, car il s'agit de cela abusent de crédit, quitte à en oublier de vivre. Un semblant de vérité qui fait mal, mais qui est bien présente. Autant être honnête, lorsque je vois mon fils qui est toujours la tête dans son écran de jeux, je le ralentis, lui faisant prendre conscience qu'il n'y a pas que cela et heureusement, il m'écoute encore (un peu), mais je sais que certains sont bien au-delà.
     
     
    La misère de la population dans la réalité de ce film est en totale contradiction avec ceux qui vivent en hauteur. Une science-fiction, dystopie, peu importe car même si nous n'en sommes pas là, cela peu arriver et je ne le souhaite pas. Les combats bien réels du jeux reviennent dans la vraie vie. 2045, un futur pas si éloigné que cela où le changement climatique a fait des ravages. Trouver les clefs pour obtenir l'argent promis, détenir l'oeuvre entière, c'est une chasse qui devient difficile. Est-ce utopique où juste un moyen de faire joeur de plus en plus de monde ? Wade vit avec sa tante et son "oncle" qui est complètement fou du jeux, alant jusqu'à prendre l'argent du loyer pour continuer à jouer. Spielbierg démontre par là l'addiction de tous jeux, virtuel ou non. J'ai adoré le premier obstacle : un donkey kong géant qui empèche les joueurs d'arriver de l'autre côté. Il faut 5 ans à Wade pour comprendre le sens d'un message caché et enfin obtenir le précieux sésame pour le premier élément. J'insiste bien le premier, car il y en a plusieurs et lorsque l'on se retrouve dans un film d'horreur à la sauce King et ce n'est pas le burger, il vaut mieux être accroché pour l'avoir.
     
    Ready Player One
     
     
      
    LA quête d'un bonheur pour soi et pour les autres, l'aventure est au rendez-vous. J'ai adoré les designs, le dernier tour avec LA BOSS qui se transforme à volonté et qui démontre de nombreux stratagèmes pour tout rafler. Art3mis est une chasseuse éalement, comme beaucoup d'autres. Si la confiance est difficile en réalité, dans le jeu c'est encore pire, il ne faut jamais donner sa véritable identité pour éviter de se faire tuer en vrai. De nombreux joueurs vont les rejoindrent, pour les aider et former une alliance. Chacun à sa spécialité dans la réalité virtuelle ou l'autre. Les vraies rencontres prêtent à sourire surtout lorsque l'on voit qui se cache derrière les avatars. Il y a ceux qui veulent vraiment être quelqu'un d'autres et il y a ceux qui se sentent bien et restent le plus proche possible de leur vrai moi.

     
    Aech, Daito, Sho deviennent de vrais amis, à eux tous ils vont s'unir pour obtenir enfin la vérité. Lorsque le rêve et la réalité se confrontent cela en devient bouleversant. La misère est-elle vraiment dans la vraie vie ou plutôt dans ce semblant de casque virtuel qui cache les défauts ? Bien entendu ils ne sont pas les seuls à vouloir récupérer ce trésor : une grande organisation est sur les traces des clefs, leurs traces. Avec les moyens qu'ils ont, Sorrento est capabke de trouver n'importe quel joueur, avec plus ou moins de temps et d'en finir radicalement. C'est une guerre pour protéger l'avenir, une guerre où les plus puissants veulent décider de l'avenir, quitte à tricher, tuer, écraser les concurrents. La révlution est en marche, depuis longtemps et lorsque Wade tombe dedans sans vraiment le savoir ni même le vouloir, tout va changer pour lui. Sa vie est menacée, encore plus qu'avant.
     
     
    En conclusion, j'ai adoré découvrir ce film. C'est un très beau mélange de science-fiction, de jeux, de réalité. La souffrance ressentie des peuples, l'enve de vivre autre chose, d'être un autre, de trouver l'amitié ou l'amour. Les effets spéciaux sont grandioses, le mélange des genres et des années passent très bien, il n'y a pas de coupures franches, mais un mélange homogène. La quête est bien trouvée et le final va être tout aussi explosif que la plupart des scènes. 2045 n'est pas si éloigné que cela, les changements climatiques sont déjà en place, qui sait si nous ne seront pas dans une de ces courses contre la montre un jour !
     
     
    Ready Player One: Tye Sheridan
     

    Ma NOTE  

    Mercredi ciné #71, "Ready Player One", film

     

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