• " « Simulacre. C’est ainsi qu’ils te nommeront… Et ce ne sera pas un compliment. Fais ce que dois. Sauve ce monde. Alors tu pourras m’oublier et recouvrer ta liberté… »
    Imaginez une France où les gentilshommes s’affrontent à coups de rapières énergétiques, de pistolets à lumière et voyagent en diligences aériennes. En chemin vers la Versailles Céleste, la nouvelle résidence du Roy en orbite au-dessus de la Terre, Estella, une jeune voleuse, croise la route de Charles de Batz Castelmore plus connu sous le nom de… d’Artagnan.
    Poursuivi par les mécanomates du Cardinal de Richelieu, le capitaine des mousquetaires confie une bague à la belle avant de se sacrifier pour lui permettre de fuir.
    Sur notre Terre, s’éveille un jeune homme de vingt ans qui ressemble trait pour trait au capitaine défunt. Il est « Le Simulacre », le double du d’Artagnan originel. Il sait qu’il doit trouver Estella, rallier ses compagnons et, au mépris du danger, sauver le royaume et peut-être bien le monde…
    "

    Pour en savoir plus, cliquez sur les photos pour avoir mon avis sur chacun d'eux.

     

    Tome 1

     

     

     

     

     

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    bleue de toi entre azur et marine (Gwenn Doz)

    L'âme au fond (Sébastien Prudhomme-Asnar)

    Auteur : Gwenn Doz

    284 pages pdf

    Thème : romance érotique

      *******

    Attention,

    pour adultes exclusivement !

     

    Résumé de l'éditeur :

    « Rencontre fusionnelle de deux âmes prédestinées.

    Entre ciel et terre, en un périple des corps et des cœurs à vif, un couple exprime sa passion et sa sensualité jusqu’au bout d’eux-mêmes et bien plus loin encore…»  

    La bête du Bois de Boulogne (Christine Béchar)

    bleue de toi entre azur et marine (Gwenn Doz)

    Pour commencer, je remercie Gwenn Doz pour l'envoi de son livre en service presse, sachant que je ne suis pas la plus grande adepte de l'érotisme.

     

    Sirena est une jeune femme Belge qui va en Grèce avec son petit ami, dans la famille de ce dernier. Un dérapage de ce dernier dans la maison même de ses parents avec un homme et Sirena déserte la maison sur le champs. Son bagage en main, elle va tomber sur Vivian qui compte faire le tour des îles grecques.

     

    Le début est soft, nous avons la présentation de la jeune femme, Sirena, plus souvent appelée Sissi d'ailleurs, qui part en vacances en Grèce. Une mauvaise surprise et la voilà parti sur un coup de tête, que je comprends tout à fait. Les scènes d'intimité restent dans l'érotisme, avec une particularité : les phrases sont lues comme de la poésie. Des métaphores sont souvent utilisées, l'imagination vagabonde et la description des lieux est juste assez pour nous faire découvrir la Grèce. D'ailleurs, c'est un point que je souligne, l'écriture est belle et voyager de cette manière est très agréable.

     

    Sirena n'a pas sa langue dans sa poche, elle ne cesse d'avancer sans retour possible en arrière. Elle aime la vie, et en profite à fond, sans chercher à savoir si c'est bien ou pas, seul le plaisir compte. Son caractère ne l'aide pas dans toutes les situations qu'elle peut se mettre. Sa langue acérée lui pose des problèmes et sa colère devient perceptible. Entre elle et Vivian, son sauveur en quelque sorte, un lien va se tisser. Un lien sexuel au premier abord et je me suis demandé jusqu'où cela irait. Vivian semble timide, peu sur de lui, mais plus le livre défile et plus il prend de l'assurance, jusqu'à un certain point.

     

    De l'humour, il y en a, autant dans les réflexions que Sissi, que dans certaines situations. Sa façon de vivre avec peu de vêtements m'a fait sourire et prendre conscience que niveau machine à laver, elle n'en a pas besoin, mdr. Il faut dire qu'entre les deux personnages principaux il vaut mieux qu'il n'y ai pas beaucoup de vêtements, car ils ne savent pas s'arrêter. Qu'il y ait du monde autour d'eux ou pas, leur pratique ne semble pas avoir de limites. Ils vont rencontrer d'autres protagonistes qui ne seront pas en reste d'ailleurs.

     

    Comme je l'ai dit un peu plus haut, il s'agit d'une romance érotique et au départ, cela passe très bien, jusqu'à ce que les mots crus arrivent et que des scènes plutôt porno fassent leur intervention. Certaines pratiques indiquées ne sont pas de mon gout, après les gens – et ici les personnages – font ce qu'ils veulent. Le problème pour ma part a été la mise en place. Je m'explique, l'auteur ne cesse de faire monter les scènes jusqu'à un point qui m'a, disons légèrement déplu pour ne pas dire plus fort. Les derniers chapitres sont une escalade dans la vie sexuelle de ce couple ainsi formé et pour ma part, je les ai trouvé de trop, d'où mon avis mitigé. La fin en elle-même était sous-entendu, donc pas de surprise dessus, mais la lire est une confirmation de ce que je pensais sur eux deux.

     

    En bref, un bon début, une histoire sympathique, une écriture fluide, facile à suivre et agréable, sans oublier de l'humour à profusion. Les descriptions des paysages m'ont emporté dans un autre monde et sont tout ce qu'il y a de plus idylliques. Par contre de l'érotisme qui devient plus cru et plus malsain au fil de la lecture et une fin de livre assez sombre par moment. Sans oublier un côté assez "bondage" par moment qui est trop peu soft pour moi. Bien entendu, tout cela n'est que mon avis et je pense sincèrement qu'il plaira à bon nombre de personnes qui aiment ce type de lecture à l'avance.

     

    Juste un extrait  :

     

    "S’étant endormis à Argostoli, on profita d’être sur place pour visiter dès l’ouverture le musée archéologique qui n’était pourtant pas prévu au programme. Contenant des objets s’étalant de la préhistoire à l’époque romaine, Vivian s’était retrouvé dans son élément. J’ai d’ailleurs peine à croire qu’il ait omis d’insérer cette visite dans son agenda – mais bon, l’erreur est humaine – faute pardonnée, du moins s’il n’oublie pas de me remercier. Flânant au travers de petites salles bardées de vitrines sécurisées, on découvrit avec intérêt l’importante collection d’artefacts mycéniens, poteries et bijoux antiques, mosaïques du temple de Poséidon provenant de Sami et divers objets dont certains de la plus haute rareté. Pour conclure la visite, quelques pas en extérieur nous firent rencontrer pierres tombales en nombres et statues érigées du plus bel attrait. Revenus au port, sans avoir pu piquer quoi que ce soit – je blague, voyons ! – on leva l’ancre sans plus attendre et après avoir contourné l’île, on cingla plus au nord en direction du village d’Ay Kiriakis. L’après-midi n’étant pas encore entamée, je fus la première à mettre pied à terre, mon estomac criant famine. Heureusement, le sixième sens de Vivian s’étant activé, il me proposa d’aller nous rassasier sans attendre. L’endroit choisi n’étant pas trop couru, on fut accueilli comme des rois par le restaurateur qui nous installa à une table familiale sous un large parasol bariolé."

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