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    Lauren Kate est une auteure américaine spécialisée dans l'écriture de romans pour jeunes adultes. Elle est née et a grandit à Dallas au Texas avant de poursuivre ses études à Atlanta. Lauren a commencé à écrire lors de son arrivée à New York.
    Il s'agit ici de son second roman, mais le premier traduit en français
    et il se dirait qu'il y aurait une éventuelle adaptation au cinéma. Affaire à suivre, en attendant voici le résumé du premier volet!
     
    Lorsque Luce entre à Sword & Cross, un lycée d’éducation surveillée, elle est d'emblée attirée par le ténébreux Daniel. Dans cet endroit sinistre où les portables sont interdits, où les élèves ont un passé lourd et où des caméras surveillent les moindres faits et gestes de chacun, Daniel devient une obsession. Mais le jeune homme évite Luce, qui est aussi courtisée par Cam, un beau brun aux yeux verts.

    Malgré sa fascination pour Daniel, Luce n’arrive pas à résister à Cam. Ce dilemme perturbe la jeune fille, déjà déstabilisée par la présence incessante d’ombres, qui la poursuivent et l’inquiètent depuis l’enfance. Tout est conçu pour que l'ordre règne à Sword & Cross, pourtant, ce lieu deviendra le théâtre de drames troubles et mystérieux...
     
    Pour en savoir plus sur chacun de ses tomes, il vous suffit de cliquer sur les photos.
     

    Damnés (Lauren Kate)

       
         
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    Nos étoiles contraires (John Green)

     

    Auteur : John Green

    336 pages papier

    Thème : Drame

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    Présentation de l'éditeur :

     

    « Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée.

    Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades.

    C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate.

    Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.   »  

    La bête du Bois de Boulogne (Christine Béchar)

    Intégrale de "Liaisons Périlleuses au Costa Rica" (Ena Fitzbel)

    "Quoi d'autres? Elle est si belle qu'on ne se lasse pas de la regarder. Ca ne vous ennuie jamais qu'elle soit plus intelligente que vous : parce que vous savez qu'elle l'est. Elle est drôle sans jamais être méchante. Je l'aime. J'ai tellement de chance de l'aimer, Van Houten. Dans ce monde mec, ce n'est pas nous qui choisissons si on nous fait du mal ou non, en revanche on peut choisir qui nous fait du mal. J'aime mes choix. J'espère qu'elle aime les siens.
    Je les aime, Augustus.
    Je les aime."

     Suite à une proposition de lecture commune (LC) de Thychat, je me suis lancé avec elle et Kassandra dans ma toute première LC. Le livre était arrivé en fin d’année dernière dans ma PAL pour je ne sais plus quelque raison qui soit, surement le fait d’entendre tout le monde dire qu’il était GENIAL ! J’ai donc lu la quatrième de couverture et je me suis dis gloups, dans quoi je me suis embarqué ? J’en ai même discuté avec Thychat, car j’avais peur de ne pas pouvoir avancer dans ce sujet qu’est le cancer. Ayant vécu en tant que spectatrice, ne rien pouvoir faire pour aider et voir la déchéance de sa propre mère n’est pas un très bon facteur pour ma part de pouvoir lire un livre qui en parle, surtout qu’il s’agit ici d’adolescent, ce qui est toujours injuste de mon point de vue. Grâce à Thychat, j’ai avancé plus vite que prévu et terminé rapidement la lecture.

    La quatrième de couverture donne donc le ton, deux adolescents qui vivent avec l’épée de Damoclès. Hazel Grace, 16 ans, les poumons atteints de manière incurable voudrait vivre comme tous les jeunes de son âge, courir, danser, connaitre peut-être un jour le grand amour, mais pour l’instant, elle est obligé d’aller dans un groupe de soutien car la dépression la guette… Elle ne se trouve pas jolie, pourtant la description de l’auteur montre tout le contraire. Elle va rencontrer Augustus Waters, appelé Gus 17 ans, en rémission qui accompagne un ami, Isaac au groupe de soutien. Gus est ce qui pourrait être qualifié de tombeur, malgré son jeune âge. Une relation particulière va tourner autour d’Hazel et de Gus. Ces deux jeunes gens vont nous fait découvrir la façon dont il combatte le cancer, dont ils vivent avec tout simplement, car ils n’ont pas le choix.

    « - Tout, c’est un garçon pas moche, pas bête et qui ne présente à priori aucun défaut inacceptable, qui me regarde, souligne l’usage incorrect de « littéralement », me compare à une actrice et me demande de venir voir un film chez lui. Mais bien sur, il y à toujours une harmatia et la tienne, c’est que… J’y crois pas ! Tu t’es CHOPE UNE SALOPERIE DE CANCER et tu paies quand même pour avoir le plaisir de t’en CHOPER UN AUTRE. J’y crois pas ! Et laisse-moi te dire que ne pas pouvoir respirer, CA CRAINT ! Je suis vraiment déçue. Vraiment. »

    Je relèverais d’autres personnages qui méritent notre attention, parce qu’ils gravitent autour d’eux. Isaac est un personnage touchant, fragile et comment en vouloir à Monica pour ce qu’elle à fait ? Vivre ainsi est dure, il faut une sacré force de caractère et ne jamais rien lâcher, alors comment aurait-elle réellement pu faire à son âge ? Egalement Patrick, l’animateur du groupe qui répète sans cesse la même chose, mais il s’en ait sorti et le raconte, pour leur donner de l’espoir. Je crois que personnellement moi aussi j’aurai envie de lui mettre une muselière sur la bouche, histoire de ne plus l’entendre rabâcher mdr. Les parents d’Hazel et de Gus, tous tentent de continuer à espérer un miracle. Arrivera-t-il ou non ? Plus je lisais et plus j’écrivais la fin, mais elle n’est pas du tout comme je le voyais. Surprenant dans un sens, mais j’aime être surprise et me dire que si cela aurait fini à ma manière, les larmes auraient probablement étaient plus nombreuses que tout au long de la lecture. L’écrivain préféré d’Hazel, Peter Van Houten, célèbre par l’écrit de « Une impériale affliction » est odieux. Il y à beau avoir les explications de son comportement plus loin, cela n’excuse en rien le fait que c’est un personnage que je n’aime absolument pas et pourtant, le chocolat Van Houten dire que c’est bon, mais amer. C’est exactement cela, Peter Van Houten est autant exceptionnel à l’extérieur (sur papier) qu’il est amer à l’intérieur et cela s'en ressent bien.

    L’auteur à l’art et la manière de décrire ce qui se passe dans leur corps et encore, sachant ce que j’ai déjà vu et vécu, ce n’est qu’une infime partie de réalité. Les changements d’humeur, perdre l’esprit au point de se demander qui est celui qui vous regarde, et se rendre compte que l’on à oublié sa famille parce que la maladie vit en vous et gagne du terrain parce qu’elle veut vivre à votre place. Mais les bons et meilleurs moments sont ceux qui justement font oublier le cancer, lorsqu’un simple brin de soleil vous fait sourire et le vent vous faire ébouriffer le reste de cheveux sur votre tête, que vous arrivez à vous levez sans trop de difficulté pour pouvoir avancer un peu, seul. Heureusement, l’humour est au rendez-vous, pas question de trop se larmoyer sur le livre totalement, mais des points forts en humour sont présents, apportant une légèreté qui fait presque oublier qu’ils sont malades et que leur projet ne peut pas être à long terme.

    «-  Augustus Waters était un salopard d’autoglorificateur, mais on lui pardonne. On lui pardonne non pas parce qu’il avait un cœur aussi bon au sens propre qu’au figuré, qu’il était naze au sens propre, ou parce qu’il savait mieux tenir une cigarette que tous les non-fumeurs du monde, ou parce qu’il avait dix-huit ans alors qu’il aurait dû vivre plus longtemps.
    - Dix-sept, à corrigé Gus.
    - Je pars du principe qu’il te reste encore du temps à vivre et arrête de m’interrompre, espèce de salopard. Je voudrais vous dire, à poursuivi Isaac, qu’Augustus Waters était tellement bavard qu’il vous aurait volontiers coupé la parole à ses propres obsèques… »

    Ce livre est une bonne histoire fictive, certes, avec la découverte de l’amour, l’amitié, se souder dans les moments durs et parfois être obligés de se mettre à l’écart, avec les ressentiments de chacun forts et émouvants, mais de là à en faire un film, disons que c’est une maladie de vouloir absolument sortir bon nombre de livres au cinéma depuis quelques temps et je trouve que malgré le fait que Nos étoiles contraires soit bien écrit, je ne le voyais pas plus loin que le papier. Une bonne lecture qui fait sourire et pleurer, certes, mais ce n’est que mon avis, bien entendu.

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    babelio 

      Lecture commune avec : Kassandra et Thychat

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